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Le Tour d’Eure-et-Loir, autrement appelé le TEL, est une course de cyclisme sur route ayant lieu tous les ans en mai. Elle existe depuis 1949 et fêtera donc ses 72 ans d’existence cette année.

Mais l’édition de 2021 ne sera que la 52e, car elle n’a pas systématiquement eu lieu tous les ans. Elle accueille la plupart du temps 20 équipes de 6 coureurs par années, soit 120 cyclistes venus majoritairement de France. Cependant, certains viennent aussi des quatre coins de l’Europe, voire de plus loin.

Sa distance peut être variable. Elle peut aller de moins de 270 km à plus de 500 km.

Édition 2021 du tour cycliste

Après une édition annulée à cause de la crise sanitaire, la course aura bien lieu cette année, pour le plus grand plaisir des fans et des participants. Du moins, c’est le cas pour l’instant, même si de nouvelles mesures pourraient être prises d’ici mi-mai. Elle aura ainsi lieu du 14 au 16 mai 2021.

Le parcours a enfin été dévoilé le 26 mars et sera en fait le même que celui qui était initialement prévu pour l’année dernière. Il sera composé de 3 étapes : après un départ depuis Illiers-Combray le vendredi, les cyclistes se rendront à Brou. Samedi, ils iront de Courville-sur-Eure à Dreux. Dimanche, il finiront la course avec la plus longue étape qui partira de Bonneval pour finalement arriver à Chartes.

C’est donc une course de 503,9 km qui les attend cette année. Le niveau augmentant avec l’ouverture à de meilleures équipes pour cette édition, la distance est donc plus longue que les autres fois.

Quelques vainqueurs historiques

Le dernier vainqueur est celui de l’édition de 2019, le néerlandais de 27 ans Luuc Bugter. Il avait alors remporté la 3e étape et à été propulsé vainqueur de la course. Il fait partie de l’équipe BEAT cycling club depuis cette année-là. Il a déjà participé à des courses mondiales telles que celles de l’UCI (autrement dit l’union cycliste internationale) Asia Tour ou de l’UCI Europe Tour.

Les participants étant en majorité français, les vainqueurs le sont donc également. Il n’y avait pas eu d’étrangers en tête de classement final depuis 2012 avec l’australien Samuel Spokes. Peu avant lui, un néo-zélandais, Alex Meenhorst, avait remporté l’épreuve en 2008. Cela faisait alors depuis 1961 qu’un étranger n’était pas arrivé en tête : c’était l’espagnol José Errandonea.